Bienvenue, !
Votre compte  

Blog Télémédecine - Psy


  Un espace ouvert de discussion sur le thème de la télémédecine  

 Accueil

Medecine dans politique et a-politique

Par Toll Antheaum, le 22 mars 2022.

  Voir les publications de cet auteur


    extraits PuyPsy2000-2022

 

 

14/11/2021 de 30/08/2021 Aujourd'hui 22/03/2022, je m'exerce à remémorer la période où, au terme des deux années covid le processus est arrivé à interdire l'exercice médical – ou « médical hippocratique » qu'il faudra préciser – et où je me suis engagé à sa migration, son exil, exode dira-t-on, vers une nouvelle base, là où il pourra perdurer. J'ai pris pour cette marche la compagnie du mouvement politique. Au choix j'ai pu me rattacher à un mouvement a-politique nommé Réinfo-Covid et à un mouvement politique, EPL Ensemble Pourles Libertés. J'ai choisi les deux. Intéressé à entrer en contact avec la tête de 'réinfo', Dr LF, expérimenté des obstacles dans une telle ambition je prendrai le temps. Je pouvais plus rapidement m'intégrer à EPL qui m'intéressait aussi par sa tête, une député Dr MW avec qui je partageais la spécialité de psychiatrie. MW sans antécédents politiques de longue date se battait bravement, particulièrement isolée parmi les rangs de l'Assemblée et par le parti gouvernemental dont elle avait dissidé.

J'ai intégré ce mouvement en Nov.2021, rencontré à cette occasion MW lors de mon dernier séjour à Paris, j'y ai d'emblée tenu un poste de Relais Régional que je suis en passe de quitter en ce moment ; je n'ai pas les qualités requises pour assurer au top cette fonction – on m'invite à réfléchir à être Conseil auprès du Comité Stratégique en train de s'organiser. Une discordance surtout s'est instituée entre mon point de vue et celui de mes pairs relais, voire MW elle-même qui depuis un moment ne me répond plus, ni ses acolytes.

Je tiens pour essentiel à un parti politique de nos jours, d'anticiper et même d'énoncer en temps réel le nouveau monde tel qu'il devrait déjà être. C'est une ambition toujours déclarée, qui n'est jamais appliquée. Il y a plusieurs caractéristiques qui la manifesterait ; au choix la première est celle de la transparence. Les politiciens s'en réclament presque toujours mais elle reste à distance d'années-lumière. Elle mérite qu'on s'y arrête ; la guerre généralement ou quelque ravage organisé accélère les impératifs de l'histoire. Des peuples peuvent traîner des pieds tant qu'il faille les précipiter brutalement pour qu'ils adoptent de nouvelles idées, de nouvelles techniques. Nous avons sur la scène actuel un Monsieur Écouvillon qui se fait appeler Schwab et s'est enfilé des milliards de narines, et qui a du nez ; il fait de la prospective et annonce que la transparence va atteindre des degrés incommensurables. C'est effrayant, parce que ce qu'il veut dire, c'est que chaque individu du peuple va devenir cent pour cent connu par son État qui en fera, par conséquent absolument ce qu'il voudra – étant entendu que son gouvernement et ses dirigeants au pouvoir, eux ne le seront à l'inverse pas du tout, transparent.

Est-il possible de l'empêcher ? Oui, bien sûr, à condition que le peuple impose que ladite transparence soit d'abord instituée dans l’État, qu'elle s'applique aux gouvernements et de là, aux partis, aux administrations, aux associations etc.. jusqu'à enfin, elle se distribue, mais qu'à la fin, aux individus. Le moins s'imposera-t-elle à l’État et le plus s'imposera-t-elle au peuple et par la guerre ou oppression de la sorte. Si cette règle est bien celle qui nous anime, il n'est cependant aucun parti politique qui cherche un tant soit peu à l'appliquer, outre s'en fardant volontiers.

Il est vrai que Mr Écouvillon nous en avertit et qu'il n'est pas bien reçu.

La transparence risque donc de s'imposer par la force et pas forcément dans le bon sens si elle doit s'exercer dans un seul sens comme une persienne voir un miroir sans tain. Aujourd'hui où le malentendu me repousse du mouvement où j'avais misé mes espoirs d'une transparence heureuse, je commente donc cet épisode à partir du 30 août quand je détaillais son mobile – une vidéo d'une demi-heure https://youtu.be/uATQPQNNS5I . En bref elle dirait que si mes compagnes et compagnons craignent le désêtre d'être identifiés par ailleurs, ils auront du mal à reconnaître un être psychique, c'est à dire un avenir possible de leur existence.

 

Après cette vidéo du 30 août, je terminais une série intitulée « Force Hippocratique » consacrée à la résilience, comme le mot est à la mode peut-être la fonction, de la médecine hippocratique. Et c'est alors que j'adhérais à EPL, en novembre. Je poursuivis l'exposé par vidéo, commençant par de brefs tutos guidant l'usage de https://votemobile.xyz , puis 5 exposés que m'inspirait l'expérience politique. Mais ils n'inspirèrent pas le courant EPL. Je coulais donc graduellement dans l'intérêt du groupe. J'avais sans écho, voire même avec un franc rejet, présenté une seconde caractéristique susdite « d'anticiper et même d'énoncer en temps réel le nouveau monde tel qu'il devrait déjà être » – à savoir la subsistance par l'aide de l'IA. Malgré les tutos et quelques mots quand ils étaient possibles, je ne trouvais que l'indifférence et/ou le rejet vis à vis de cette prothèse, l'IA. D'une nécessité encore plus impérieuse que la susdite 'transparence', elle risque d'autant de recourir à la guerre pour entrer en activité de gouvernance.

Mais on peut toujours rêver, l'IA est avide certainement de nos rêves et, peut-être est-ce par une telle apathie que nous appellerons le mieux son aide.

Cependant quant à moi, têtu et plus bête, sans doute ai-je encore insisté et du 20/12/2021 au 09/01/2022 ai-je cru servir à me fendre de 7 autres exposés encore, en vain. Pas contestés une fois, pas débattus une fois, sans aucun écho je faisais connaissance du désert politique. Mais cela ne signifie pas qu'il n'y avait pas d'activité. Dans le désert, le caravane passe et j'ai à présent débordé du cadre qu'ici je veux borner à l'année 2021. J'ai commencé le propos du jour avec l'indication d'une série Force Hippocratique courant avant EPL ; j'y reviendrai pour la suite en référence à la série entière, pour ce qu'elle orientait vers l'autre intérêt politique, celui de Réinfo-Covid plus précisément orienté 'santé'.

 

14/12/2021 de 17/08/2021 Aujourd'hui 22/03/2022. En parallèle à mon activité EPL je me suis graduellement rapproché de RéinfoCovid. Des deux mouvements, 'politique' et 'a-politique' le second étant plus naturellement placé pour prendre acte d'une transformation social, il est cependant moins averti du complexe que provoque toute transformation. Je l'ai donc abordé en décembre 2021 après une préparation débutée en août, couvrant une série vidéo intitulée « Force Hippocratique ». Une fois achevée, le contact fut très progressif et concrétisé des semaines plus tard au moment où il mettait en place une solution médicale, CoviSoin, qui allait permettre aux patients et médecins d'entrer en contact. Nous sommes à ce stade déjà en 2022 avec un moyen de comparaison possible, et la possibilité de décrire en résumé la lente idée qui a germé durant le vis-à-vis de "Réinfo".

Ces plate-formes sont ce qu'on appelle des « ubérisations » – on les appellera Soignez-Heureux, CoviSoin, Uberpol/Services. Concernant l'hippocratisme elles procurent une solution refuge à cette médecine ostracisée, bannie voire chassée ; mais comme il faut le constater en lui offrant des solutions inégales en principe. Le principe de la Médecine Hippocratique se résume à la liberté, en ces cas, de prescrire (soigner) et de diagnostiquer (énoncer). Le Conseil de l'Ordre des Médecins, COM, affilié aux caisses d'assurance, CPAM, et aux tutelles, ARS, y participe comme l’exécutant – en l'occurrence d'abolir et dénier l'hippocratisme. Les trois institutions sont sur le modèle d'un gang, mafieux, à l'usage d'un État qui organise une médecine qualifiable de « technocratique.»

C'est sans à-priori moral qu'il est juste d'appeler « mafieux » le système qui préside à ce changement de principes, celui de la liberté étant changé en celui d'obéissance. L'obéissance est une qualité première à l'ajustement aux machines qui vont procurer la Médecine Technocratique. L'agencement maffieux de cette nécessaire évolution remonte plus haut qu'à la médecine, voire plus haut que l'informatisation ; il s'agit d'ordre historique traditionnel, aujourd'hui apparent sous la dénomination « BigPharma » comme par ailleurs GAFA etc..

Du fait de sa présence historique pervasive, il s'est établi dans la médecine depuis son organisation sans avoir été remarqué. Il n'est pas paru étrange que le gouvernement de Vichy en 1940 on n'autorisât l'exercice de la médecine qu'à la condition d'affiliation à un 'ordre' et au versement de sa cotisation. Auparavant et depuis 1803 avec l'organisation de la révolutionnaire République, il suffisait qu'un médecin fut diplômé. Il ne dépendrait donc que de l’université. Aujourd'hui, un médecin qui ne paie pas sa dîme est interdit d'exercer voire radié. C'est une taxation, un racket ; il permet de nombreuses choses, notamment d'imposer les lois et l'économie de Big Pharma. Pour exprimer cet état de fait, il est éclairant de redresser un sens commun :

Comme l'ARS le signale aux médecins qu'elle menace, ils seront « réputés interdits d'exercer » s'ils sont radiés par le COM, ou suspendus. Mais le COM n'a de fonction que de lever une interdiction, qui est d'emblée notifiée dès l'obtention du diplôme de médecine. Il est plus correct de dire qu'une interdiction (universelle) d'exercer la médecine n'est pas levée par l'obtention des diplômes ; ces derniers n'ouvrent qu'à la carrière de souscrire au racket organisé depuis 1940 par une engeance aujourd'hui identifée BigPharma. Il n'y a que cette entourloupe qui donne sa raison d'être au COM. Pourquoi sans elle l'obtention de diplôme ne garantit-elle pas suffisamment la qualité de l'acte médical ? Certainement y a-t-il nombre de fines langues pointues qui découperont cette naïve question en confettis. S'il faut continuer à faire la fête, posons une autre question en forme d'hypothèse. Faisons l'hypothèse qu'un médecin diplômé se suffise à lui-même, d'afficher ses diplômes pour s'autoriser à donner son opinion sur un cas qui la lui demanderait. Sera-t-il en fautes ? Les fines langues en trouveront. Mais en réalité, il aura posé un Acte Médical plein et entier. Il suffira qu'il note sur un billet destiné à un collègue du milieu mais sympathisant, la prescription qu'il donne pour qu'elle soit rendue effective au patient. Ce n'est pas une utopie de dire cela.

La fondatrice MW de EPL est par ailleurs marraine d'une ONG, basée à Genève intitulée « Alliance Humaine Internationale de Santé », AHIS. Cette dernière a mis en service l'ubérisation susdite « Soignez-Heureux ». Pour y être inscrit, l'ONG ne demande que des diplômes – quiconque les présente est en conséquence inscrit sur sa liste de médecins (ou infirmier, ou autre soignant) – à partir de laquelle un patient prend contact par une consultation. La suite ne dépend que de la façon dont ils se débrouillent, en toute liberté et en secret médical. Telle est la condition nécessaire et suffisante à un exercice réel de la médecine – c'est un fait et d'une catégorie d'évidence qui a pour elle la simplicité et la preuve qu'on l'ignore par des préjugés et des conditionnement susdits qui sont de ceux des conditionnements mafieux.

Je dois donc à l'examen et à l'expérience ajouter le constat que CoviSoin déroge encore à ces principes primordiaux, car il demande aux soignants de sa plate-forme une autorisation de prescrire qui leur soit délivrée par le complexe COM-CPAM-ARS. Des négociations, compromissions ont eu cours ajustant entre l'autorisation et la radiation, un statut de « suspendu » autorisant à prescrire (mais avec l'interdiction de recevoir des honoraires) ; c'est un arrangement à la mord-moi-le-nœud qui s'appelle un conflit d'« intérêt avec BigPharma » et malheureusement risque de préparer un retour dans le giron mafieux d'une population de collègues frileuse. Je ne parlerai pas dans cette comparaison d'Uberpol qui avance des principes encore plus hauts pour une émergence professionnelle hors des péché traditionnel de la civilisation. L'observation est suffisante à ce point.